Alexis Maneyrol
Alexis Maneyrol naît le 26 août 1891 au Moulin des Pins et il y passe son enfance.
Pendant son adolescence, il part travailler à Paris où, féru d’aviation, il décroche un brevet de pilote à 20 ans sur un monoplan Blériot Anzani.
En 1912, il revient à Frossay et donne de nombreux meetings aériens dans la région.
Pendant la guerre, il obtient son brevet militaire d’aviation et rejoint l'escadrille des as MS 49 à Belfort.
Après l’armistice, Maneyrol reste chez Morane et tente la liaison aller-retour Paris-Rome le 2 septembre 1919.
Il parvient bien à Rome sans escale en 5h59, un record, mais une panne l’oblige à se poser à Pise sur le retour.
À Itford Hill, Maneyrol reste 3h22 dans le ciel et bat le record du monde détenu jusqu’alors par les Allemands.
C’est la consécration.
Au retour à Paris, il est félicité par le sous-secrétaire d’État à l’aéronautique, et reçoit la Légion d’Honneur.
Revenu à Frossay, il organise des promenades aériennes à bord de son appareil, un Spad 34.
Entre les meetings, Maneyrol vole beaucoup au-dessus de la région, faisant des loopings et des acrobaties.
Maneyrol fait la rencontre d’un ingénieur, Peyret, et essaye le planeur de ce dernier après le congrès. Bien que son aspect soit inhabituel, son appareil est sûr et doux à conduire.
À Paris, avec Peyret et ses assistants, ils construisent un planeur similaire pour participer à un concours international de vol à voile à Itford Hill (Angleterre) organisé par le Daily Mail.
Le 13 octobre 1923 devant une foule nombreuse, Maneyrol prend l’air, décidé à dépasser les 4000 mètres. Et de fait l'aviette monte si bien qu’elle disparaît dans le ciel.
Soudain, les deux ailes de l’appareil se replient en parapluie et il s’écrase.
Au sol, Maneyrol agonise et ne tarde pas à mourir.
Le barographe a marqué 4200 mètres. Ayant subi des dégâts, il est confisqué et le Daily Mail prive Maneyrol de son dernier record.
Pendant son adolescence, il part travailler à Paris où, féru d’aviation, il décroche un brevet de pilote à 20 ans sur un monoplan Blériot Anzani.
En 1912, il revient à Frossay et donne de nombreux meetings aériens dans la région.
Pendant la guerre, il obtient son brevet militaire d’aviation et rejoint l'escadrille des as MS 49 à Belfort.
Après l’armistice, Maneyrol reste chez Morane et tente la liaison aller-retour Paris-Rome le 2 septembre 1919.
Il parvient bien à Rome sans escale en 5h59, un record, mais une panne l’oblige à se poser à Pise sur le retour.
À Itford Hill, Maneyrol reste 3h22 dans le ciel et bat le record du monde détenu jusqu’alors par les Allemands.
C’est la consécration.
Au retour à Paris, il est félicité par le sous-secrétaire d’État à l’aéronautique, et reçoit la Légion d’Honneur.
Revenu à Frossay, il organise des promenades aériennes à bord de son appareil, un Spad 34.
Entre les meetings, Maneyrol vole beaucoup au-dessus de la région, faisant des loopings et des acrobaties.
Maneyrol fait la rencontre d’un ingénieur, Peyret, et essaye le planeur de ce dernier après le congrès. Bien que son aspect soit inhabituel, son appareil est sûr et doux à conduire.
À Paris, avec Peyret et ses assistants, ils construisent un planeur similaire pour participer à un concours international de vol à voile à Itford Hill (Angleterre) organisé par le Daily Mail.
Le 13 octobre 1923 devant une foule nombreuse, Maneyrol prend l’air, décidé à dépasser les 4000 mètres. Et de fait l'aviette monte si bien qu’elle disparaît dans le ciel.
Soudain, les deux ailes de l’appareil se replient en parapluie et il s’écrase.
Au sol, Maneyrol agonise et ne tarde pas à mourir.
Le barographe a marqué 4200 mètres. Ayant subi des dégâts, il est confisqué et le Daily Mail prive Maneyrol de son dernier record.